Cet exercice que j'ai pratiqué souvent avec Rosaria Marozzo et Nicole B est très instructif et permet au geste de se libérer.
La feuille est travaillé en 1x au départ avec de grands gestes larges sans réfléchir à mesurer ceux-ci.
Au fur et à mesure du séchage et de l'interaction entre l'eau, les pigments et le papier, des effets, des paysages peuvent apparaître (ou pas).
Ensuite lorsque le collant Tessa est retiré (attention à n'utiliser qu'avec du papier Arches ou suffisamment épais) chaque petite case devient unique et peut à présent exister par elle-même. L'ensemble peut également être exposé ainsi.
Qu'en pensez-vous ?